Gerald Ford, proche de l'ex-Président Nixon, arrive à la Maison-Blanche alors noyée par le scandale présidentiel. Il commence par pardonner publiquement le Président Nixon, pour ensuite suivre les traces désastreuses du Président déchu à l'égard des droits civiques. Tout comme Nixon avant lui, il se distingue par son manque de préoccupation vis-à-vis de cette problématique. Durant sa Présidence, il n'apporte aucun soutien et ne dépose aucun projet de loi pour l'avancement du Mouvement des droits civiques noir américain. Gerald Ford, qui fut l'un des pires Président des Etats-unis en ce qui concerne la lutte des Noirs américains pour les droits civiques, ne fait rien non plus pour tenter de s'approprier le vote noir lors de l'élection de 1976 contre Jimmy Carter. |